La qualité de vie dans la cité repose sur un bon équilibre entre un environnement agréable, des logements disponibles, des moyens de transports et une activité économique adaptée à la population. Dans ce contexte les commerces de proximité s’avèrent déterminant pour le dynamisme de la ville.
Les fermetures prochaines à Villecresnes d’un commerce de primeurs en centre-ville, et d’un restaurant gastronomique sur la RN 19 auxquels s’ajoute la disparition du centre de radiologie sont des évènements éminemment négatifs.
Les causes en sont diverses. La crise économique bien sûr mais aussi d’autres motifs. Dans le cas du centre de radiologie il s’agit d’un départ à la retraite.
Les moyens dont dispose la municipalité en la matière, sont limités, car l’achat et la vente de fonds de commerce, obéissent d’abord à la loi du marché. Son rôle est de mettre le commerce local dans le meilleur environnement possible.
Toutefois, sur le moyen terme, la ville n’est pas totalement désarmée puisqu’elle possède un droit de préemption, certes complexe à mettre en œuvre, mais pouvant permettre, de se donner le temps de rechercher un repreneur.
Pour cela il y a nécessité d’assurer le maintien, dans notre ville, des jeunes Villecresnois, qui sont porteurs d’avenir. De même doit-on garantir un accroissement modéré et équilibré de la population.
Les différents projets immobiliers en cours, notamment celui du Bois d’Auteuil s’insèrent dans cette démarche.
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