A 48 heures du premier tour des élections municipales, Pierre-Jean GRAVELLE, vient de distribuer un document dont le contenu est une injure aux électeurs et une agression personnelle à mon encontre.
C’est une injure aux électeurs, car, pour défendre « une place » acquise dans des conditions dont chacun se souvient, il n’hésite pas, à tenter d’attiser chez ses concitoyens de vieux réflexes de peur.
700 logements de plus : PHANTASME !
Détérioration d’espaces verts : TROMPERIE !
Augmentation des impôts : CONTRE VERITE ! Contrairement à lui nous nous sommes engagés à bloquer les taux d’imposition locale tout au long de la mandature.
Pour Monsieur Gravelle il faut donc mentir encore et encore, en espérant qu’à la fin, il en reste quelque chose.
Me concernant, les propos tenus sont fallacieux et outrageants.
Monsieur Gravelle parle de contrefaçon.
Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’il serait le seul à posséder le profil de maire ? Qu’il serait le seul à être légitime ? Qu’il faut s’appeler Gravelle pour avoir le droit de postuler cette charge ?
Monsieur Gravelle parle également d’indemnités.
Pour mes fonctions d’adjoint au maire je perçois une indemnité de 650 € mensuels, et rien pour celles de Président de la Communauté de Communes. Pendant le même temps c’est autour de 6000 € mensuels que reçoit Pierre-Jean Gravelle. Pour quels résultats ?
Je suis retraité et, contrairement à lui, je ne considère pas les fonctions électives comme un emploi.
Monsieur Gravelle parle de deuxième tour, mais laissons donc se dérouler normalement le premier. Oui, depuis le début notre équipe est résolument apolitique et ouverte, et nous le resterons jusqu’au bout.
Villecresnoises, Villecresnois, nous vous demandons d’apporter à ce document diffamatoire la seule réponse qu’il mérite : en votant massivement pour la liste VILLECRESNES AUTREMENT.
Daniel WAPPLER
« Il ne faut pas s'attendre, bien sûr, à ce que les professionnels de la nostalgie, du dénigrement, de l'aigreur, renoncent, tout au moins pour le moment, à suer le fiel, à cracher la bile et à lâcher le vinaigre. Seulement, c'est un fait que le jeu de naguère, celui des continuelles intrigues, combinaisons, chutes, élévations, qui était pratiqué par les spécialistes, ce jeu-là ne peut pas reprendre » Charles De Gaulle (14 janvier 1963)
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