Villecresnes bouge et l’équipe municipale travaille.
Trop peut-être à en croire les réflexions de certains qui pointent d’abord les nuisances !!
Bien sûr les travaux en cours, qu’il s’agisse de la construction de la maison de la petite enfance, des réfections de voiries, ou des opérations entreprises par le SIARV ou la Lyonnaise provoquent une gêne momentanée. Mais au final tout est réalisé dans l’intérêt des habitants, et il est dommage que les râleurs l’oublient.
Que dire ensuite de l’esprit civique, de ceux qui clament haut et fort leur refus d’appliquer des règles dont le seul objet est de rendre harmonieuse la vie au sein des quartiers. Il en est ainsi du stationnement bilatéral alterné, destiné à rendre les trottoirs aux piétons et à sécuriser leurs déplacements. Il y a quelques jours, dans une de nos rues, les poubelles n’ont pu être vidées en raison du stationnement gênant de quelques uns. Dans une réunion de quartier récente nous avons même entendu cette revendication : « laissez-nous faire ce que nous voulons tranquillement ». Eh bien NON.
Nous refusons cet état d’esprit, que chacun pourra qualifier de lui-même, mais nous sommes résolument ouverts au dialogue, aux suggestions, à l’idée qu’une disposition doit être appliquée avec intelligence en fonction des contextes particuliers. C’est justement le but des réunions de quartiers dont certaines ont démontré qu’elles pouvaient être force de propositions.
Je suis également choqué par les mots que ces mêmes râleurs emploient parfois lorsqu’ils parlent des élus. Ceux qui le font ne se grandissent pas et je les invite à davantage de prudence quant à leur expression publique, qu’elle soit orale ou écrite. Tout le monde a le droit d’exprimer un désaccord vis-à-vis d’une politique ou d’une décision, mais pas de manquer de respect à des personnes qui sont engagées au service de leurs concitoyens et de leur ville, à des personnes qui travaillent beaucoup et de manière quasi bénévole, puisque le maire et les adjoints ne perçoivent qu’une indemnité volontairement réduite.
Ces râleurs permanents s’expriment souvent, mais n’en constituent pas moins une minorité.
Je me prends à rêver que la majorité silencieuse de celles et ceux qui se rendent compte du travail effectué s’exprime à son tour.
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