Quelques Villecresnois se sont, avec raison, interrogés ces derniers temps sur l’état des abords et des îlots centraux de la RN 19.
La maintenance des routes nationales incombe à l’Etat, comme celle des départementales aux conseils généraux, et celle des voies communales aux municipalités. Et chacun doit faire face à ses devoirs.
Mais, l’Etat, qui se comporte souvent en juge et partie, a décidé unilatéralement, et depuis plusieurs années déjà, qu’il n’engagerait plus les dépenses liées à cette obligation d’entretien. Et tant pis pour la sécurité, pour l’environnement, ou pour l’esthétique. Que les villes traversées se débrouillent.
Depuis lors, pour ne pas laisser le secteur à l’abandon, la municipalité de Villecresnes prend à sa charge le fauchage et la tonte des abords. Cette année nous assurerons, en plus, aux frais de la ville, la remise en état des séparateurs centraux.
Que cela soit clair !
Le maire de Villecresnes n’est pas le seul à s’indigner de cet état de fait, comme en témoigne l’article suivant, publié dans Le Parisien du 9 août.
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