Une très grande majorité de français souhaiterait, compte tenu du contexte national et international, que la France se dote d'un gouvernement d'union, afin de mettre fin à cette cascade de décisions contradictoires, prises par des gouvernements successifs.
Comment, ce qui est souhaité au niveau national, ne le serait-il pas pour une commune ?
Aussi bien, en ce qui concerne Villecresnes, est-ce cette volonté de réunir des intelligences et des compétences qui, en 2008, a rassemblé des personnes venues d’horizons divers. Certains venaient de l'UMP, d'autres du Modem, d'autres du nouveau centre, d'autres du parti radical, d'autres du parti socialiste. Beaucoup enfin étaient issus de la société civile, du tissu associatif, en dehors de tout parti.
La compétence de chacun, dans un domaine donné, a primé sur sa famille d'origine.
Tous, depuis 2008 ont travaillé, non en fonction des positions partisanes des appareils parisiens, mais uniquement en fonction des besoins de la ville et de ses habitants. Pas de position dogmatique mais des solutions pratiques à trouver ensemble.
L'opposition prédisait de cette équipe qu'elle ne durerait pas 6 mois. Elle travaille, unie, depuis 6 ans.
Pourquoi cette réussite ?
Parce que tous sont conscients que chacun est porteur d'une vérité, que l'on doit au moins essayer de comprendre sans a priori, avant de la reprendre à son compte, lorsqu'un large consensus se fait jour. C'est un état d'esprit nouveau qui, au fil du temps, a permis de construire une estime réciproque qui a fait croître une ambition partagée pour Villecresnes.
On peut contester telle ou telle réalisation, on ne peut pas contester la volonté de se mettre ensemble, en dehors de tout parti, au seul service des Villecresnois.
Comme on peut le voir, sur le site internet ou sur les réseaux sociaux, cet état d'esprit a engendré une dynamique qui a conduit de nouvelles personnes à nous rejoindre, en nous apportant leurs compétences et leur expérience.
Ainsi un cercle vertueux s'est créé dont tous pourront profiter.
Contribution de Jean-Paul TEXIER
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